quand plus un nuage ne demeurera pour trahir la force du vent
quand aux détours des passants s'agripperont, difficilement, des bribes de rires
quand par le mouvement régulier de tes rêves je saurai que tu t'es assoupi
c'est là que j'irai, laissant mes mots à la porte
me glisser près de ton ventre
là où
chaque nuit
naît une nouvelle étoile
Montbeillard
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Une histoire parue dans le deuxième numéro de la revue Colère.
A story written for the second issue of Colère.
5 years ago
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